viernes, 26 de septiembre de 2014

SEBASTIEN LAYRAL














































































1972, "Painting is not the ultimate aim, it is a quiet moment in which you meet each other. Each exhibition is a journey where we work to change the nature of this encounter. These moments are slipping in color, under and on the epidermis, harmonizing everything... and for a moment make the ephemeral permanent and restore impermanence to what is no more. Possibility upsets endlessly what should be. To give the opportunity to access different points of view through the encounter, this process allows to put into perspective the place of each person, and understand the need for plurality of views. Each person will work on making him or herselves available and allow a path of full access to others. The action can also be stated differently, nourished by the encounter (change of perspective). And beyond this story, allow to modify the first thought: initiatory path to change the world."

Né à Rodez, en 1972, Sébastien Layral part, après une admissibilité à un baccalauréat série 
arts appliqués (F12), à l’école des Beaux-Arts de Toulouse. A la suite de ses études, en 1996, il est 
contacté par la directrice d’un centre spécialisé pour enfants autistes afin de leur créer un atelier 

et préparer une exposition de leurs différents travaux. 


Il travaille deux ans sur ce projet avant de monter son propre atelier et devenir artiste 
indépendant en 1998.
Dès les prémices du développement de sa démarche, l’artiste travaille l’autoportrait sous 
différentes formes. Tout d’abord à partir de photos de mannequins, issues de magazines, dont 
l’image véhicule le cliché de l’idéal féminin. Il en découpe les corps, les recolle sur la toile et 
remplace les visages par le sien, qu’il aura pris le soin de peindre. Les formats seront divers (du 
14 x18 cm au 120 x 200 cm) et certains sont présentés sous forme d’abécédaire. Par ce procédé, 
il commence à intégrer l’interaction dans son travail, recherche qu’il ne cessera plus d’explorer.




No hay comentarios:

Publicar un comentario